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Malgré une communication claire de la part de l’INAMI et des acteurs concernés depuis juillet 2019, certaines questions subsistent, sur le terrain, à propos de la prescription des médicaments. Le Comité de l’assurance de l’INAMI a décidé de ne pas prolonger la période transitoire. D'autre part, le Comité demande aux pharmaciens et aux organismes assureurs de traiter de façon pragmatique les situations problématiques.
Le Comité de l’assurance souligne que le patient ne peut pas être la victime, administrative ou financière, de la situation. Pour les pharmaciens également, les inconvénients doivent être limités. C’est pourquoi, le Comité de l’assurance invite les prescripteurs à toujours prescrire par voie électronique en premier lieu et, dans les cas exceptionnels de prescription papier, à n'utiliser que le nouveau modèle. Le Comité suit de près l'évolution de la situation sur le terrain.
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c'est encore et toujours une ignorance hallucinante de la médecine de terrain et une idée stupide quel qu'en soit le coût et le gaspillage financier et écologique ! Mais c'est aussi diviser pour régner, en choisissant de mettre les médecins en porte à faux face aux pharmaciens et aux patients ! Alors que les initiateurs de la stupide modification s'en lavent les mains ! Malhonnêteté comme toujours !