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Déjà 1,25 million de demandes pour des tests PCR gratuits
03/09/2021 - 11:56
Photo: Shutterstock

Quelque 1,25 million de codes pour des tests PCR gratuits ont été demandés jusqu'à présent, dont 72% ont été utilisés. Ce bilan provisoire est donné vendredi par la responsable du Comité interfédéral Testing et Tracing, Karine Moykens.

Depis le 26 juin, les Belges de plus de six ans qui n'ont pas encore été vaccinés peuvent demander un code pour un test PCR gratuit. L'opération court jusqu'au 30 septembre et le code d'activation est valable pendant 10 jours. 

Outre la demande d'un test gratuit, le site masante.belgique.be permet aussi de demander un test payant.

Le test peut ensuite être administré dans tous les centres de tests, dans les laboratoires privés ou dans les laboratoires des hôpitaux. L'objectif est de soulager les médecins généralistes de leur charge et de leur permettre de se concentrer sur leurs tâches essentielles, à savoir l'examen des patients malades. 

Karine Moykens a déclaré vendredi que 1.250.000 codes de test gratuits ont été demandés jusqu'à présent. En outre, environ 240.000 codes payants ont été distribués.

La Commission européenne et AstraZeneca ont trouvé un accord sur la livraison de vaccins

La Commission européenne annonce vendredi avoir trouvé un accord avec l'entreprise pharmaceutique AstraZeneca, contre laquelle la première avait entamé une procédure judiciaire en avril dernier, au tribunal de première instance de Bruxelles.

Cet accord "mettra un terme au litige en cours devant le tribunal bruxellois", communique vendredi matin la Commission européenne. 

Via cet accord, la société s'est engagée à livrer toutes les doses de vaccins contre la Covid-19 qui étaient prévues par l'accord d'achat anticipé conclu à l'été 2020 (300 millions de doses). La société suédo-britannique va donc livrer aux Etats membres de l'UE "135 millions de doses d'ici la fin de 2021", dont 60 millions avant la fin du 3e trimestre. 65 millions de doses supplémentaires seraient livrées d'ici fin mars 2022.

Dès le début des livraisons du produit développé par AstraZeneca avec l'université d'Oxford, un bras de fer s'était engagé entre la Commission européenne et l'entreprise. AstraZeneca avait rapidement revu à la baisse ses prévisions de livraison pour l'UE, et la Commission l'avait accusée de ne pas respecter le contrat conclu ainsi que sa clause des "meilleurs efforts".