2020-01-08 14:03
Les parasites du genre Plasmodium, responsables du paludisme, sont transmis à l’homme par des piqûres de moustiques infectés. Et pour s’acclimater à ces deux hôtes complètement différents, le parasite va se transformer grâce à la plasticité de lecture de son génome. C’est justement les mécanismes épigénétiques à l’origine de cette plasticité, et plus précisément la méthylation de l’ADN, que des scientifiques de l’Institut Pasteur et du CNRS ont décidé de cibler.